Qu’ils aient été ministres, députés, hauts fonctionnaires, PDG… Depuis l’indépendance de l’Algérie, plus de 50 milles anciens officiels et cadres algériens ont obtenu la nationalité d’un autre pays que le leur. Et pas n’importe quelle autre nationalité puisqu’il s’agit exclusivement de la nationalité française.
C’est une source du ministère français de l’intérieur qui a lâché cet incroyable chiffre explosif !
Ces anciens dirigeants, poursuit la même source, possèdent presque tous des biens immobiliers et des avoirs bancaires. Ils ont fait des investissements, d’autres ont refait leur vie ou rejoint leurs familles en France.
« On ne change pas d’ADN par décret… »

Interrogé sur ce phénomène, le sociologue français Raymond Boudon spécialiste mondial de la question de « la mobilité sociale », expliquait il y’a déjà quelques années :
« On ne change pas d’ADN par décret. Le troc de leurs origines africaines et méditerranéennes contre une appartenance fabriquée idéologiquement a ses conséquences. Ces idéologues qui ont renié leurs origines et qui ne sont jamais devenus arabes, ont fini par opter pour la nationalité de leurs anciens colons ».
Le Rappel…
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dites à naima salhi qui sont les vrais ennemis de la nation et de la patrie
L’État algérien devrait supprimer cette double nationalité. Ou on est algérien, ou on ne l’est pas !