NDLR : Ce responsable n'est pas député. Il s'agit de Abdelmajid Chikhi, conseiller du président de la République chargé des archives et de la Mémoire nationale. Il est également Directeur général des Archives nationales
Une nouvelle révélation sur la guerre d’Algérie a été communiquée au peuple algérien, cette semaine, par Abdelmajid Chikhi, conseiller du président de la République chargé des archives et de la Mémoire nationale et Directeur général des Archives nationales, en plein assemblée du parlement. Ce haut responsable de l’Etat Algérien a, en effet, révélé devant les membres du parlement et les caméras que durant la guerre de libération, « une cigogne était avec la révolution algérienne ».
Une anecdote historique méconnue de la guerre d’Algérie qui viendra alimenter la longue histoire officielle de l’histoire de la guerre d’Algérie.
Sans commentaire :
« On doit discuter et se dire certaines vérités. On a tous vu ces derniers jours sur le réseau social « ridicule » qu’on appelle facebook ou je ne sais quoi, la photo d’un corbeau déchirant le drapeau israélien.
Mais figurez-vous que cette opérations a eu lieu ici en Algérie. Eh oui les amis, en 1961, dans une caserne militaire, une cigogne était dans son nid et regardait ce drapeau bleu, blanc rouge. Eh bien, la cigogne a foncé dessus, l’a pris, emmené dans son nid et a commencé à le déchiqueter.
Des soldats l’ont vu et lui ont tiré dessus. Ils lui ont casser les pattes et la cigogne est tombée.
A la liberation, un soldat français m’en a parlé. En fait, c’était un soldat français militant de la cause nationale, infiltré dans l’armée française. Ce soldat m’a dit « par allah, ils ont organisé un conseil militaire et ont condamné la cigogne à la perpétuité ».
Et j’ai eu la chance d’avoir photographié cette cigogne. Je lai photographié alors qu’elle était atteinte de plusieurs balles à l’une de ses pattes. La pauvre marchait sur une seule patte. On l’a pris et lavons soigné jusqu’à ce qu’elle se rétablisse et rejoigne son nid.
Voici sa photo. Je lai prise moi-même. Je la garde toujours sur moi. Ah pardon, je ne lai pas ici, mais je vous la montrerai plus tard. »
Eh Kabylie, ce sont tous nos ânes qui ont fait la guerre d’indépendance algérienne. Personne n’en parle. En plus, l’Algérie nouvelle nous envoie en prison.