Début novembre 2020, les Émirats Arabes Unis franchissaient un nouveau cap dans les nouvelles relations qui lient désormais ce pays à Israël au titre « des accords d’Abraham ». En effet, de l’ordre avait été mis dans la longue liste d’interdits qui frappent son peuple et son Économie au nom de la Charia. Parmi les nouvelles dispositions adoptées : la révision de leur approche sur le marché de l’alcool avec en ligne de mire le développement du Tourisme.
Selon ce que rapportait l’AFP, dans une dépêche datée 29 septembre 2020, des restrictions liées à la vente et à la consommation d’alcool ont été levées. Et cette dernière n’est, ainsi, plus considérée comme un délit dans ce pays.
«Nous annonçons l’annulation des permis pour (l’achat) d’alcool. Les résidents et les touristes auront le droit d’en acheter dans les magasins autorisés», indique la circulaire datée du 15 septembre 2020, rapportée par l’agence. Dés lors, d’après les décisions prises par le gouvernement des Émirats, pour boire ou vendre de l’alcool, aucune autorisation n’est désormais requise. Toutefois, l’âge minimum pour la consommation est fixé à 21 ans.
Le vin algérien boudé, Des dizaines de millions d’Euros évaporés à l’autel de l’idéologie… !
Si le vin algérien est boudé ce n’est pas tant par son manque de qualité vu qu’à diverses occasions, plusieurs crus algériens ont remportés haut la main de prestigieuses distinctions au niveau international, mais bien les tabous idéologiques et religieux dans lequel sont noyés les autorités algériennes devenues plus wahabites que les wahabites eux-mêmes, faisant perdre à l’économie algérienne des centaines de millions d’Euros et des milliers d’emplois au peuple algérien qui se noie chaque jour, un peu plus, dans le chômage et la crise économique !
Dans une interview accordée au quotidien liberté le 10 octobre 2021, Le Professeur en économie, Brahim Guendouzi, alertait en indiquant que « le taux de chômage enregistre une hausse sensible qui pourrait avoir une incidence sur l’équilibre de la société, en général, au cas où les pouvoirs publics n’y remédie pas à temps ».