“Il autorise sa production et interdit sa distribution !”: L’État organise-t-il le marché noir des bières algériennes ? Maamar Farah s’interroge…

Tango, Beaufort… La quadrature du cercle / Par Maamar Farah

La photo d’une saisie par la police d’Oum-el-Bouaghi m’a interpellé. J’ai zoomé et j’ai découvert des cannettes et des bouteille de bière ! J’ai lu Tango, Beaufort, etc. C’est-à-dire des boissons qui sortent de vraies usines, connues et reconnues, dont les patrons paient leurs impôts et sont en règle avec la sécurité sociale. Je me suis alors posé ces questions : si ces usines ont une grande production (270 millions de litres d’alcool qui ont été consommés en Algérie en 2017) et si les réseaux de distribution sont interdits par des walis fricotant avec l’islamisme, n’est-ce pas l’État qui, hypocritement, encourage la vente illégale de cette bière ?

Maamar Farah, Le 29 mars 2021


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