Le constats sur les ravages de l’arabisation en Algérie continuent de pleuvoir et de faire l’événement en Algérie. Le dernier en date nous provient de l’auteur bilingue Amin Zaoui, qui dans une réflexion rapportée par l’islamologie Said Djabelkhir, y est allé de son propre constat. Il écrit :

Amin Zaoui : « Ma majorité des étudiants qui optent pour un cursus universitaire langue arabe et science sociale sont ceux qui ont les plus mauvaises notes à l’examen du Baccalauréat ».
L’hécatombe que subit le niveau de l’université algérienne ne cesse d’alerter de nombreux observateurs qui n’hésitent plus à pointer du doigt le choix idéologique de l’instauration de l’arabisation à l’école.
Récemment, encore, c’est le chercheur et enseignant universitaire, Mustapha Maddi, un des chantres de la langue arabe en Algérie, qui en faisait le constat qualifiant l’arabisation de « système idéologique te politique » très éloigné d’un choix scientifique réfléchi ;