Le 27 avril 2001 était la journée la plus sanglante de la tragédie qui a suivie le printemps berbère de 2001. 128 jeunes, majoritairement des étudiants ont été tuées, ce jour-là par la gendarmerie algérienne. Sur un mur à Azzazga, on peut lire le mot «liberté». C’est le jeune Kamel Irchen ,qui l’écrit de son propre sang avant de rendre l’âme après avoir été blessé de plusieurs balles.

un crime pour lequel j’amais personne n’a eu de compte à rendre. Aucune enquête n’a té ouverte. Le mére du jeune Kamel , elle, continue à brandir la photo de son fils à travers les rue d’Algérie…

Il est à rappeler aussi que dans la même ville, Ahcene Agadir, Mourad Djebbar, Kamel Malek, Sadek Youcef, Sofiane Mouter et Tahar Amrar ont également été tués lors la répression sanglante de 2001.
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