Le conseiller de président de le république chargé les archives nationales et de le mémoire, Abdelmadjid Chikhi, a appelé mercredi 27 octobre lors de la conférence organisée par le sénat a l’occasion de 67e anniversaire de déclenchement de la guerre de libération nationale, à revoir la méthodologie de l’écriture de l’histoire dans les livres scolaires « dans l’objectif de faciliter le transmission de l’information a l’enfant ».
« Écrivains, historiens, mais aussi ministère les moudjahidines », devraient se joindre au ministère de l’Éducation nationale au sein d’une commission pour s’y affairer, selon ce que rapporte, ce vendredi 29 octobre, le site Algérie 360.
Selon certaines indiscrétions, le nom de l’historien proche des cercles du pouvoir, Mohamed Lamine Belghit est évoqué comme probable président de cette commission. Une information applaudit par les tenants du courant islamo-conservateurs, mais qui fait grincer des dents leurs opposants qui ne souhaitent pas figurer dans les livres scolaires les thèses, jugées » négationnistes » de cet historien à qui le pouvoir finance Conférences et Colloques depuis plusieurs années et l’historien de référence invité par les médias proches du pouvoir.
Parmi les thèses les plus célèbres de cet histoire, rappelons qu’il avait affirmait que « Abane Ramdane, Krim Belkacem ou encore Larbi Benmhiodi sont des traitres à la nation ». Mais aussi que « c’est l’ex-président Égyptien Djamel Abdennasser qui a ordonné le déclenchement de la guerre de libération nationale algérienne ».
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