«Ont-ils répondu de leurs actes pour autant ? Non !».
C’est ce que révèle le président du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef), Boualem Amoura dont les propos ont été rapportés ce jeudi 17 juin. Le syndicaliste évoquait les inspecteurs de l’éducation qui ont conçu le sujet de français de 5e primaire dont les erreurs avaient fait scandale.
Expliquant cette impunité le syndicaliste indique que souvent, lorsqu’un incident de ce type arrive, «les responsables se couvrent entre eux, en minimisant la gravité de ces actes pour la crédibilité de l’école algérienne». Pour lui, tant que les responsables de l’éducation continueront de suivre cette logique, ce genre de phénomènes prendra sur le long terme, «une forme plus grave».
Quelle misère intellectuelle…l.école qui forme des bourricots