Dans sa nouvelle vidéo, postée la semaine écoulée, le YouTubeur algérien au discours islamiste assumé, Anes Tina, n’a pas manqué d’afficher ouvertement son aversion aux homosexuels allant jusqu’à demander publiquement leur « extermination ».
Pour lui, l’homosexualité est un danger pour la société algérienne ».
Un avis que partage entièrement l’un des leader du parti islamiste FIS, Anwar Haddam.
Ainsi, sur sa page facebook, Anwar Haddam à partir des Etats-Unis, écrit :

Anwar Haddam : « J’ai beaucoup apprécié la vidéo du jeune Anes Tina. Un jeune qui combat la déviance et la destruction des valeurs de la société. Un pure sang qui lutte à travers sa magnifique vidéo dans laquelle il dénonce les fléaux sociaux qui menace notre cher pays. 4 millions de personnes ont visionné cette vidéo. Ce qui prouve que notre chére pays est entre de bonnes mains. »
Anes Tina et l’hommosexualité
La semaine écoulée, dans sa vidéo, dont un extrait est publié sur sa page Instagram, Anes Tina affirmait que « l’homosexualité est un grand problème en Algérie ».
Le YouTubeur algérien, qui compte des millions de folowers, n’a pas caché sa désolation parce que, selon lui, « la question de l’homosexualité qui a toujours existé en Algérie de façon discrète a connu une évolution dans la mentalité des Algériens « .
Il explique que « l’homosexualité est un grand problème, même dans les pays où la loi accorde tous les droits aux homosexuels ». Selon lui, malgré « la loi autorisant l’homosexualité dans de nombreux pays européens, une partie de la société ne veut pas l’accepter en la critiquant ouvertement ». « Les chrétiens sont ouvertement contre l’homosexualité », assure-t-il.
Anwar Haddam aux USA
Rappelons qu’Anwar Haddam est un des leaders du parti islamiste Front Islamique du Salut (FIS). Ainsi, après avoir contribué durant les années 90, au déclenchement de la guerre fratricide en Algérie s’est définitivement installé avec sa famille aux Etats-Unis. Un choix étrange pour une homme politique qui appelait durant la décennie noire à instaurer la Charia en Algérie. Un modéle appliqué en Afghanistan, mais dans lequel il n’a manifestement pas souhaité finir sa vie.
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