Le noyautage islamiste du « Hirak », aura été le principal facteur de l’explosion du mouvement populaire enclenché en 2019 qui a conduit à l’éviction de l’ex-président Bouteflika et l’émergence d’un nouveau pouvoir aux pratiques similaires, le brouillon et l’incompétence, en plus.
Pourtant, et malgré ce constat évident, de nombreux activistes (souvent installés à l’étranger) continuent d’appeler, à quelques mois des élections présidentielles, à la reprise du mouvement, tout en mettant en avant un projet sur la base de valeurs islamistes. La charia comme source de constitution.
Une option inacceptable pour la majorité du peuple, bien que cette dernière pèche par un manque d’organisation comparé au discours islamistes largement dominant sur les réseaux sociaux.
L’état d’esprit de cette majorité qui rejette cette option islamiste est parfaitement résumé par l’homme politique, Abdelkrim Zeghileche qui évoque le sujet dans une publication facebook.
Il écrit :

Abdelkrim Zeghileche : « Mon ami le Horakiste, ne m’oblige pas de choisir entre le rangers (militaire, NDLR) et les islamsites pare ce que je choisirait le rangers. »
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