« Pourquoi le meilleur bachelier d’Algérie et apprenant du Coran, n’a pas choisi un pays musulman pour poursuivre ses études dans la langue du Coran ? »
C’est la question ironique que pose, sur sa page faceboook, l’auteur et journaliste Mouna Bekkis commentant l’annonce du choix de l’élève ayant obtenu la meilleure note au Baccalauréat de rejoindre une université canadienne.
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D’autant que ce résultat aura été l’occasion pour la quasi-totalité des médias algériens de rappeler « le bienfait de la langue arabe et de l’apprentissage du Coran ». Une campagne médiatique des plus abjectes qui aura durée plusieurs semaines expliquant à longueur de reportages, talk show et autres documentaires et interviews, aux jeunes que l' »apprentissage du Coran est la clé de la réussite ».
« La langue arabe langue du Coran »
« La langue arabe langue du Coran », une formule ne vogue dans le milieux islamistes en Algérie, otamment dans le milieux médiatique et scolaire. EN 2027. Une enseignante du primaire dans la wilaya de Batna avait réalisé une vidéo en compagnie de ses élèves dans laquelle elle ventait la supériorité de la langue arabe sur toutes les autres langues du fait qu’elle est la langue du Coran. A rappeler que cette enseignant du nom de « OUSTADA SABAH », s’est installé en 2019 avec ses enfants en… France.
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