Dans la continuité des mensonges de l’histoire de l’Algérien, figure en pôle position le 16 avril. Une journée labélisée par l’Algérie officielle « YOUM EL ILM » (Journée du savoir) en l’honneur de l’Association des Ulama Musulmans Algériens et son cheikh Abdelhamid Ben Badis.
Une association et un chef assimilationnistes qui s’opposaient à toute rébellion contre la France coloniale considérant que « les algériens l’honneur et comme seul devoir de défendre la langue arabe et l’islam » (deux questions sur lesquelles la France coloniale n’était pas opposée et les avait même accordé à cette association).
Dans une intervention télévisée datée de 2016, l’écrivain et journaliste algérien H’mida Ayachi lisait à l’antenne des passages du principal journal de cette association : « Al Sunnah.
« La OUMA algérienne n’est pas la France. Mais ce pays musulman algérien est l’ami de la France. Un pays loyal et sa loyauté est une loyauté sincère et de cœur et non juste une loyauté de façade.
Dans les cas de crises internationales, si les balles fusent, en cas de guerre, le musulman algérien doit se battre comme un lion pour défendre la terre française, comme il défendrait sa terre algérienne, son honneur et ses enfants.
Et même si la France ne le mobilise pas, il devra se présenter comme volontaire pour la défendre. Et nous avons dans divers conflits qu’a eu à affronter la France, des dizaines de milliers d’exemple de volontaires dans les cimetières français.
Nous, les algériens nous vivons dans ce pays l’Algérie, mais vibrons au couleur du drapeau de la France tricolore, unis aux français par une union sacrée que rien ne peut ébranler. »