« Le salfo-wahabisme n’a plsu sa place en Arabie Saoudite. Il a définitivement sa place en Algérie ». C’est ce qu’écrit l’internaute Amel Colombe qui commente l’information indiquant que l’Arabie saoudite va envoyé sa toute première femme astronaute en mission spatiale cette année.
En effet, Rayyana Barnawi rejoindra son compatriote l’astronaute saoudien Ali Al-Qarni pour une mission à destination de la Station spatiale internationale (ISS) “au cours du deuxième trimestre 2023”, a annoncé dimanche l’agence de presse officielle saoudienne SPA.
Les astronautes « rejoindront l’équipage de la mission spatiale AX-2 » et le vol spatial « décollera des États-Unis », a indiqué l’agence.
Le pays pétrolier suivra les traces de son voisin du Golfe, les Émirats arabes unis qui sont devenus en 2019 le premier pays arabe à envoyer un de ses citoyens dans l’espace.
À l’époque, l’astronaute Hazzaa al-Mansoori a passé huit jours sur l’ISS. Un autre compatriote émirati, Sultan al-Neyadi, fera également un voyage plus tard ce mois-ci.
Les monarchies du Golfe ont cherché à diversifier leurs économies dépendantes de l’énergie à travers une pléthore de projets. En 2018, l’Arabie saoudite a mis en place un programme spatial et l’année dernière en a lancé un autre pour envoyer des astronautes dans l’espace, tous faisant partie du programme Vision 2030 du prince héritier Mohamed Ben Salman pour la diversification économique.
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