Dans une publication datée du 20 décembre, le philosophe et écrivain Smail Mehnana explique sa publication qui a soulevé l’ire des arabophiles algériens intitulée : « Mythe de la langue arabe ».
Il écrit :
« Au sujet des commentaires sur mon sujet portant sur « le mythe de la langue arabe ».
Les arabophiles m’en veulent parce que je maitrise cette langue tout en la dénigrant.
Premièrement : Je ne suis pas contre la langue arabe, mais contre l’arabisation de ce qui ne peut pas être arabisé sans commettre de grands dommages.
Deuxièmement : Je maitrise cette langue par le biais de la formation coranique que j’ai reçu. Mais je me suis rendu compte que ce n’était qu’une arnaque nationale et que tout était politique.
Troisièmement : Durant le moyen-âge de grands noms (Thomas More, Dante, Descart) ont écrit en latin contre l’idéologie latine.
Quatrièmement : Je t’expliquerais dans d’autres publications que Benbela et Boumediene ont appliqué une politique culturelle, économique et scientifique, consciemment destructrice, au nom de cette langue. Et nous récoltons aujourd’hui encore les fruits de cette grande arnaque.
Merci. »
Texte original

Boukharouba, le schizophrène (dixit Frantz Fanon), et Ben Bella, le voyou, ont eu à gérer, en arabe, le destin de ce grand pays. Le résultat, nous le vivons aujourd’hui dans la honte et la haine de soi.