Le 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) qui se tient depuis le 25 octobre et qui doit fermer ses portes le 4 novembre au Palais des expositions des Pins maritimes (Safex) à Alger, n’a pas dérogé à la règle devenue rituelle. En effet, selon de nombreux témoignages, les rayons des livres de cuisines et religieux ont été vidés. Un type de lecture qui semble le plus convenir au lectorat algérien.
Dans sa chronique de ce jeudi 2 novembre, le journaliste du Soir d’Algérie SLIMANE LAOUARI confirme cette tendance et indique qu’il ne faut surtout pas se fier aux selfies qui sont publiés sur les réseaux sociaux de lecteurs avec leurs auteurs connus ou pas. Selon le journaliste « les livres de cuisine font un tabac et les «moudjallad» religieux provoquent des émeutes ».
« Ce que ne dit pas ce journaliste c’est que ce lectorat comme ce type de lecture a toujours été un but à atteindre des autorités politiques. Il suffit de voir que l’une des plus grandes maison d’édition qui éditent des livre qui font réfléchir a été interdite ! ». C’est ce qu’écrit un internaute, la maison d’édition évoquée étant les éditions Koukou, interdite d’expo par les organisateurs de ce Salon.
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