Après qu’il ait imposé à son équipe l’interdiction du port du drapeau Berbère tout en mettant en avant le drapeau Palestinien dans toutes les compétions auxquelles a participé l’équipe algérienne depuis son arrivée en 2018, le coach de l’équipe d’Algérie, Djamel Belmadi envisage de franchir le pas décisif : Réitérer cette politique raciste appliquée dans tous les stades algériens et internationaux, au cœur même de la Kabylie.
En effet, selon le site Fennec Football, qui cite le journaliste algérien Moumen Ait Kaci, « l’entraîneur Belmadi souhaite jouer son prochain match dans le nouveau stade de Tizi Ouzou, baptisé Houcine Ait Ahmed ».
Il s’agit du match qui doit opposer l’Algérie à la Tanzanie au titre de la sixième et dernière journée des qualifications pour la Coupe d’Afrique des Nations 2023 que doit organiser Côte d’Ivoire. Cette rencontre est prévue pour le 4 septembre prochain.
Rappelons que le drapeau amazigh (Berbère) est définitivement banni des stades et de toutes les compétions de l’équipe algérienne depuis l’arrivée à sa tête de ce franco-algérien résident au Qatar originaire de l’ouest algérien. S’il a échoué à qualifier l’équipe algérienne pour la Coupe du Monde du Qatar et qu’il a classé son équipe à l’avant dernière place de la dernière Coupe d’Afrique, Belmadi, dont le contrat a malgré tout été renouvelé, aura marqué son passage à la tête de l’équipe algérienne par un racisme sans égal envers la population Amazigh, particulièrement la population Kabyle.
Selon un internaute : « Ce choix du stade de Tizi-Ouzou n’est sans doute pas innocent, tant, la politique raciste entreprise par l’équipe d’Algérie atteint ainsi son sommet ultime en interdisant le drapeau Berbère au cœur même de la Kabylie ».
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