Les émeutes que vient de vivre la France à la suite de la mort de Nahel M., un adolescent tué par un policier pour un refus d’obtempérer, auront durée huit jour. 553 communes ont été touchées sur tout le territoire français, selon le décompte du quotidien Le Monde. « Si la France n’en est pas à sa première vague de violences urbaines, celles-ci n’avaient jamais été aussi étendues ni généralisées sur le territoire, des plus grands centres urbains aux plus petites agglomérations », commente le quotidien.
Bilan des saccages, destructions et incendies : 1 milliard d’euros.
« France raciste » scandaient les milliers de casseurs issus de familles ayant fui leur pays d’origines, notamment algériennes, pour trouver asile en France.
Parmi les nombreux chiffres officiels et autres avancés par les médias, il en est un qui fait particulièrement réagir sur les réseaux sociaux.
Ainsi, l’auteur et blogeuse Mouna Bekkis écrit sur sa page facebook :
Mouna Bekkis : « Bilan de 8 jours d’émeutes dans le pays raciste, La France. 0 franco-algérien a restitué sa nationalité française. 0 franco-algérien n’est retourné en Algérie ».
L’auteur rappelait dans une de ses précédentes publication que « ce son ces mêmes algériens qui cassent en France, qui ont cassé la société algérienne avant de fuir le produit de leur certitudes idéologiques, pour finir par quémander la’sile en Francen le pays du mariage pour tous du jambonneau et du beaujolais.
L’Algérie devenue toxique par les interdits religieux qu’ils ont imposé à la population. Aller à la plage pour une femme, prendre une bière ou juste trouver quelques moments d’intimité pour un couple, devenus un luxe que seule els plus aisés peuvent se permettre !
Evoquant ces désormais franco-algériens, l’auteur Kamel Daoud écrivait dans une de ses chroniques :
« (…) Les jeunes clandestins se filment à Paris ou ailleurs, riant, insultant ceux qui sont restés plantés sur un sol inutile, huant le président du moment, la lâcheté, et montrant des filles occidentales heureuses et libres, des terrasses et des jardins. Tout ce qu’ils n’ont pas dans leur pays d’origine. Mais aussi ce qu’ils refusent à eux-mêmes et aux leurs. Car ceux-là mêmes qu’on présente comme victimes innocentes du mal-être du « Sud » y sont aussi les bourreaux de leur corps et de leurs rêves. » … (chronique intégrale)
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