Comme de nombreux rituels musulmans instaurés par les Abassid au 8e siècle et attribués au prophète ou au Coran afin de justifier leurs politiques militaires ou économiques, le rituel du sacrifice du mouton ne fait pas exception.
En effet, selon certains islamologues, ce rituel n’avait comme finalité que de renflouer les caisses de l’état, donner des gages aux « oligarques » (propriétaires de cheptels) mais aussi d’entrainer les hommes à la guerre en les accoutumant à l’acte d’égorger (du fait que le gabarit d’un mouton est plus ou moins semblable à celui d’un homme).
Une explication que partage, entre autres, le chercheur marocain en patrimoine musulman, Rachid Aylal, mais également l’homme politique algérien, Abdelkrim Zeghileche. Dans une publication facebook ce mercredi 20 juin, ce dernier écrit :

Abdelkrim Zeghileche : « Qui peut égorger un mouton, peut égorger un homme. C’est une affaire d’entrainement. Pourquoi le phénomène de crime par égorgement et si rependu dans notre pays ! »
Laisser un commentaire