“Inchallah le sujet sera facile et Allah fera le reste” (Un candidat au BAC algérien)

Une simple intervention télévisée d’un jeune candidat au baccalauréat en Algérie pour cette cession 2023, donne un aperçu de l’éducation et de la manière dont approche le jeune algérien, futur médecin, ingénieur, cadre de l’état…  les difficultés auxquelles il est confronté et auxquels demain au titre de son activité ou ses fonctions il devra les affronter.

L’anecdote nous est rapportée par l’homme politique Abdelkrim Zeghileche. Sur sa page facebook, il écrit :

Abdelkrim Zeghileche : « J’ai vu une vidéo d’un jeune candidat au bac (je ne publierai pas la vidéo). Ce jeune dit : « Inchallah ils vont nous donner un sujet facile et Allah fera le reste ». Ce jeune n’a ni de relation avec les science, ni avec les connaissances ni même avec son dieu ».

Inchallah…

Evoquant l’expression « Inchallah », dans une de ses chroniques, l’auteur Amin Zaoui écrit : ».

« Inch’allah est une expression arabe composée de trois mots, qui signifie en français « Si Dieu le veut » (…) Elle est utilisée à tort et à travers. Une locution importée d’Orient islamique. Dans le nouveau discours algérien, qu’importe le discours politique, social, scientifique ou culturel, après chaque phrase on entend sonner : Inch’Allah ! Nous sommes arrivés à un stade où tout le monde parle religieux »… (Chronique inétgrale « Au pays d’Inch’Allah »).


“Les canadairs sont en panne. Et on demande à Allah d’accueillir les morts dans son gigantesque Paradis” (Ministre de l’intérieur)


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