Dans le prolongement de sa critique du Recueil des hadiths de l’imam Bukhari qui est la référence dans l’islam sunnite, le chercheur en patrimoine islamique marocain Rachid Aylal auteur du livre « Boukhari, la fin d’une légende » révéle dans une de ses vidéos, l’incroyable contenu « pornographique » qu’on peut retrouver à travers la lecture de ce recueil.
Rachid Aylal (quelques passages) :
« Je vous ai déjà parlé de plusieurs invraisemblances et aberrations qu’on peut lire dans le recueil de Boukhari. Mais laissez moi vous parler de l’un des hadiths les plus choquant qu’on peut lire dans ce recueil.
Ce Hadith peut-être lu dans le chapitre « KITAB ENIKAH » (Livre de la sexualité), Sous chapitre 25 intitulé : « Ce qui est hallal et haram dans les relations sexuelles avec les femmes ». Un sous chapitre des plus étrange qui explique ce qui est licite et ce qui est illicite dans les relations sexuelles avec une femme.
Je vous pris de m’excuser pour ce que je m’apprête à lire et ce que je vais vous faire entendre.
Ainsi, dans le passage portant sur l’attouchement sexuel d’un enfant, « s’il le pénètre avec son pénis, il ne pourra pas épouser la mère de l’enfant ».
Ainsi, sans la moindre pudeur, Bukhari explique qu’il n’ya aucun problème d’attoucher sexuellement un petit garçon ou une petite fille et qu’il le pénètre de son pénis, la seul sanction est que la mère de l’enfant lui est interdit. Ce qui signifie que si la pénétration n’est pas effectuée, il n’y a aucun problème.
J’ai sincèrement honte de vous faire subir la lecture de ce hadith. Et je défis quiconque d’imaginer qu’il s’agit de sa fille, sa sœur ou sa mère. Je pense que ce recueil de Bukhari devrait être interdit aux enfants de moins de 18 ans. «
« Boukhari, la fin d’une légende »
Rappelons que dans son livre « Boukhari, la fin d’une légende » Rahid Aylal démontre l’origine des dérives de la pratique de l’islam qui s’appuie sur le patrimoine religieux, notamment le recueil de Bukhari qu’il considère comme un personnage suspect, voire fictif qui ‘na jamais existé du fait de l’absence de toute trace historique le concernant (ni manuscrit, ni témoignages, en plus d’une filiation rapportée par le patrimoine religieux décousu, étrange et tout aussi suspect.)
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