Ainsi, ce ne sont pas des critères sportifs et les résultats qui maintiennent le franco-algérien, Djamel Belmadi à la tête de la barre technique de la sélection d’Algérie, mais bien de considérations politiques.
C’est en tout cas ce qu’on peut déduire de la déclaration, hier vendredi, du chargé de communication de la Fédération Algérienne de Football (FAF), Salah Bey Abboud dont les propos sont rapportés par le site Awras, ce samedi 31 décembre.
Le site indique, en effet, que Salah Bey Abboud s’est prononcé sur « les attaques organisées » que subit le sélectionneur national. Il a, à cet effet, assuré que « Bemadi est soutenu par l’État ».
Salah bey a de plus soutenu que « les critiques que subit le sélectionneur national ne sont pas logique ».
Rappelons que sous la houlette de Djamel Belmadi, l’équipe d’Algérie s’est fait éliminée au premier tour de la dernière Coupe d’Afrique en se classant avant dernier de la compétition. L’équipe d’Algérie a également raté sa qualification en Coupe du Monde. Des arguments qui semblent suffisamment « logiques » pour les détracteurs du sélectionneur Djamel Belmadi, dont le contrat a été prolongé, moyennant un des salaires annuels les plus élevés du monde, surpassant les deux sélectionneurs finalistes du Mondial Qatari, le français Didier Deschamps et l’argentin, Lionel Scaloni.
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