« La langue anglaise a une place prépondérante chez les jeunes algériens. La nouvelle génération parle et lit couramment la langue de Shakespeare ».
C’est l’incroyable affirmation que souligne le site algérien TSA dans son article paru ce vendredi 3 novembre, consacré au Salon international du livre d’Alger (SILA). Et d’ajouter que « Les éditeurs algériens devraient peut-être réfléchir à publier plus d’ouvrage en anglais, écrits par des écrivains algériens pour satisfaire la demande croissante de ces jeunes lecteurs ». « Des écrivains algériens écrivant en anglais » évoqués par ce site sans en évoquer les noms, du fait qu’il n’en existe pas un seul.
Rappelons que l’introduction de l’anglais à l’école par une simple décision politique, sans la moindre étude ou préparation pédagogique ou logistique donne des sueurs froides à de nombreux professionnels de l’éducation, mais surtout aux parents qui voient leurs enfants utilisés comme des cobayes à l’autel de l’idéologie et de la politique. Des écoliers livrés à des enseignants formés en 10 jours durant les vacances d’été.
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