Sur sa page facebook, l’islamologue Said Djabelkhir revient sur la dépendance du musulmans aux cheikh et aux fetwa sur les petites et grandes choses de la vie de tous les jours.
Il écrit :
Said Djabelkhir : « Le cerveau du musulman est atteint de paralysie et est entré dans un coma depuis qu’il s’en remet au etwas sur tout et n’importe quoi. Il est devenu une transaction rentable aux mains de la reliigon un commerce ».
Al Azhar : 1.5 millions de fetwa en 2022
Si nous n’avons pas de chiffres pour l’Algérie sur le nombre de fetwas émise par an, on peut citer l’Egypte où selon le bilan 2022 communiqué par « DAR IFTAA » (Maison de la FETWA) dépendant de l’université d’Alzhar, cet établissement a émis 1.5 millions de fetwa durant l’année 2022. Soit, 4109 Fetwa par jour.
En Algérie une fetwa récente, qui a fait beaucoup parler d’elle, émise par le leaders des salafistes algériens, cheikh Ferkous interdit de nommer ses enfants du nom des rois berbères, Jugurtha et Massinissa.
L’Algérie ,le pays des ténèbres s’immole……………par une religiosité débordante , s’accaparant le champ social . La pesanteur religieuse a colonisé les esprits d’une société en quasi majorité rétrograde , avec des réactions violentes en substituant l’espace culturel à la mosquée seul lieu de rendez vous ,ou la critique ,le savoir ,les connaissances sont abolies par ……………….l’attente du miracle .Nourris à la sève de chouyoukhs , esthètes des tabous et de la laideur , imposant en casus belli leur fiel pour un au delà éphémère . Des personnes hideux apparaissent au gré de scénaris établis ailleurs distillant des abracadabrantes historiettes en seul viatique le binome : Le mur et la mosquée