Les annonces faites cette semaine par le prince héritier saoudien Mohamed Ben Salman insistant sur une relecture des textes du patrimoine religieux semblent avoir toucher la prestigieuse université islamique Al Azhar.
En effet, 14 siècle après la révélation de cette religion, le grand cheikh de cette institution « a découvert » cette semaine que frapper son ou ses épouses « n’est pas conforme à l’islam ».
Ainsi, le quotidien Egyptien Al Doustour rapporte que le cheikh Ahmed Mohamed el-Tayeb a révélé que : « L’islam a interdit et rendu Haram (illicite) de frapper ses épouses par un texte coranique »

Les trois hypothèses de Djabelkhir
Relayant l’information, l’islamologue Said Djabelkhir publie un commentaire sur sa page facebook. Il écrit :

Said Djabelkhir : « Il ne peut y avoir que trois explications à cette déclaration : Soit, le cheikh d’Al Azhar a oublié le Coran préservé dans le livre sacré. Soit il lit un livre sacré qui n’est pas le livre des musulmans, soit il a bu quelque chose »
Rappelons que le chercheur en patrimoine islamique marocain Rachid Aylal rapportait cette semaine que le prince héritier Ben Salman est revenu avec plus de force sur la nécessité d’accélérer les réformes du discours religieux…
Comme les centaines de milliers de ses « collèges », Il a peur pour sa fiche de paie et ses déplacements en Occident, le pays des kouffars. Coupez-leur les vivres, ils ne sauront rien faire avec leur tête ou leurs mains à part parler et nous rouler dans la farine intégrale religieuse.