Dans une publication facebook, le cinéaste Bachir Derrais est revenu sur l’état de l’environnement toxique dans lequel baigne la société algérienne depuis l’émergence de l’islamiste en Algérie et sa mainmise sur les valeurs et la culture de la société.
Une liste interminable d’interdits religieux de haram et hallal qui frappe particulièrement les femmes mais aussi les hommes et dont l’application est confiée au premier venu. Le tout sous les yeux des autorités sensées être régies par des lois terrestres dans un pays sensé être une République.
Bachir Derrais publie ainsi, une photo de son adolescence lors d’une journée whisky avec des amis sur les monts de sa ville natale Palestro.

La cinéaste accompagne la photo d’un petit texte. Il écrit :
« Avant l’islamisation de la société algérienne, la vie était belle en Algérie et chacun était libre de ses actes.
Quand nous étions lycéens à Palestro, il y avait ceux qui faisaient la prière et on les respectait et y’avait nous, les buveurs. Dès que nous avions du temps libre, on cotisait pour s’offrir une bonne bouteille whisky et on montait sur les hauteurs de la ville pour passer du bon temps en sirotant tranquillement notre bouteille. Et comme disait Abdelmadjid Tebboune « TAS IDOUR » (la verre tourne).
NB : Comme je n’ai pas demandé l’avis de les amis ,J’ai préféré masquer les visages. de mes amis. »
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