Dans son édition de ce jeudi 16 février 2023, le site TSA rapporte que le ministre du Commerce tient toujours à la généralisation du code-barres, alors que ce procédé d’identification des produits commercialisés cessera d’exister dans quatre ans.

Ainsi, l’obligation avait été instituée en vertu d’un arrêté interministériel datant de mars 2021 et ce ministre a été formel : « à partir du 29 mars 2023, les produits qui ne porteront pas un tel code seront interdits sur le marché algérien ». Aucun produit ne sera exempté de cette obligation, que ce soit ceux produits localement ou importés, destinés à la consommation locale ou à l’exportation.
Et au ministre d’annoncer sa satisfaction en indiquant que « Plus de 11.000 entreprises algériennes se sont conformées au code-barres, désormais apposé sur plus de 500.000 produits. »
Il ne communiquera, toutefois, pas le coût logistique pharamineux pour la concrétisation de cette opération. Un autre gaspillage en règle de l’argent public si on considère que le code-barres est voué à la disparition…
Le code-barres remplacé par le code QR dès 2027
Si le code-barres à fait ses preuves depuis prés d’un demi-siècle, il est toutefois désormais complètement dépassé par une toute autre technologie d’identification des produits commercialisés : le QR (Quick responsable code).

En effet, c’est cette alternative beaucoup plus moderne et efficace qui de plus en plus prend le relai et qui devrait être généralisée dans le monde d’ici 2027. Il s’agit d’un code 2D qui peut contenir un nombre d’informations nettement plus important que le code-barres.
D’où la décision de Global Standards 1 d’abandonner définitivement le code-barres dès 2027 pour le remplacer par le code QR.
Et au site de s’interroger : » Beaucoup se demandent dès lors pourquoi les autorités algériennes ont-elles décidé de généraliser une norme qu’elles seront amenées à abandonner au bout de quelques années seulement ? ».
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