Naïma Salhi a été condamnée ce mercredi 16 novembre, par le tribunal correctionnel de Chéraga (Alger), à une peine de « six mois de prison ferme ».
C’est ce qu’indique sur sa page facebook, le militant Mourad Amiri, à l’origine de la plainte déposée contre l’ancienne députée.

Le militant dit que » La bataille judiciaire n’est pas encore terminée, j’annonce dors et déjà qu’on fera appel. Je profite de l’occasion pour dire bravo aux avocats avec lesquels je ferais encore du chemin. »
Rappelons que les plaignants avaient insisté lors du procés sur la requalification des accusations portées à l’encontre de la présidente de Parti pour l’Equité et la Proclamation (PEP), autrement dit, l’application de l’article 87 bis du code pénal.
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