Dans une publication sur sa page facebook, l’islamologue Said Djabelkhir évoque une nouvelle innovation technologique qui n’est rien d’autres que les prototypes des toilettes du futur. Fruit de millions de dollars d’investissements et de plusieurs années de recherches et de travail, l’islamologue n’a pas manqué de faire un parallèle avec le monde musulman.
Il écrit :

Said Djabelkir : « Les chinois ont inventé des toilettes publiques qui font des tests médicaux sur les urines et te donnent les résultats alors que tu es en train d’uriner. Mais n’oubliez pas qu’Allah a créé les kouffras (mécréants) pour nous servir, nous musulmans. Eux innovent dans la recherche scientifique et l’invention, et nous nous produisons de l’urine ».
Des toilettes qui analysent l’urine et les selles pour dépister des maladies
En février 2021, le site Europe 1 évoquait cette innovation. Ainsi, le chroniqueur Innovation de la chaîne, Anicet Mbida, expliquait qu’après le cabinet médical, c’est le cabinet de toilette qui fera bientôt nos analyses à domicile. Pour lui, c’est probablement le meilleur moyen de dépister des maladies. Il faut s’imaginer une cuvette de toilettes à la japonaise (celles qui ont plein de gadgets : des jets, du chauffage, une télécommande…). Sauf qu’elles ont, en plus, des capteurs capables d’analyser aussi bien les urines que les selles. Ce qui permet de détecter, par exemple, un début de cancer colorectal, une infection urinaire ou des problèmes rénaux.
Or, en matière de santé, plus une maladie est détectée tôt, plus on a de chance de la guérir. En faisant une analyse systématique, à chaque fois que l’on va aux petits coins, cela permet de suivre en permanence notre état de santé, sans avoir à faire d’effort en particulier.
Comment ça marche concrètement ?
Des capteurs de la cuvette envoient leurs données à un vrai laboratoire sur internet qui va ensuite les analyser et rechercher les marqueurs de certaines maladies. Si le système détecte du sang dans l’urine, par exemple, il pourra prévenir automatiquement un médecin.
Enfin la même source a assuré que ce type de toilette sont d’abord destinés à etre testé dans des cliniques et les Ehpad. « Car tout le monde n’est pas encore prêt à accepter l’idée de toilettes qui analysent en permanence nos déjections les plus intimes ».
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