Dans une publication facebook, datée de ce samedi 1er octobre la page facebook officielle de l’islamologue Razika Adnani répond à l’article: « Razika Adnani sévèrement critiquée pour une publication sur Djamel Bensmail ! » paru sur Ma Revue De Presse DZ en date du 28 septembre 2022. Dans sa publication elle accuse Ma Revue De Presse DZ de « falsifier des preuves » et de « mentir à ses lecteurs ».
L’islamologue retient, ainsi, 3 reproches et accusations.
1- “Le lien vers l’article intégral n’est pas mentionné”
Razika Adnani : « À noter que Ma revue De Presse DZ n’a pas publié le lien qui renvoie à l’article de Razika Adnani afin de permettre à ses lecteurs de le lire. Or, c’est ce qu’un journaliste doit faire en premier lieu par respect à son travail. »
Mouna Bekkis : « Il y a bien un lien vers la publication de Razika Adnani (qui est sensé avoir, à son tour, un lien vers son intervention dans Le Soir d’Algérie). » (Capture 1)
2- “Les liens vers les commentaires critiques ne sont pas mentionnés”
Razika Adnani : « L’auteur de l’article publié par Ma revue De Presse DZ ne donne aucune précision sur l’endroit ou le support où cette polémique a eu lieu et ne publie pas les liens vers les commentaires dont il parle dans son article afin de permettre aux lecteurs de vérifier ses propos. Le seul nom qui est donné est celui de la journaliste Mouna Bekkis qui n’est en réalité que l’auteur de l’article lui-même étant donné que le même commentaire attribué à cette Mouna Bakkis est posté le 28 septembre sur Razika Adnani page par Ma revue De Presse DZ, comme le montre les coupures d’écran ci-dessous. «
Mouna Bekkis : Ma revue De Presse DZ est un blog est non un site. Le seul est unique auteur des articles n’est personne d’autres que moi-même : « CETTE » Mouna Bekkis, journaliste et blogueuse assistée d’une petite équipe technique. Il se trouve que je suis également internaute et mon commentaire a été publié sur la page de Razika Adnani sous la publication du 11 septembre. Je suis intervenue « intentionnellement » avec le compte du blog Ma Revue De Presse DZ pour justement marquer mon passage sous la publication. (Capture 2)
Le second commentaire (capture publiée dans mon article) de l’internaute mécontent a été posté à Ma Revue De Presse DZ (c’est ce dernier qui m’a orienté vers la publication de Razika Adnani). (Capture 3)
Quand au troisième, il s’agit d’un des nombreux commentaires dans les partages de la publication de Razika Adnani sur faceboook. Noyé dans l’actualité et n’ayant pas pu le retrouver, trouvez ci-joint, deux autres commentaires, allant dans le même sens (deux pour le prix d’un). (Capture 4)
NB : La publication de Razika Adnani a suscité de nombreux commentaires accusateurs, certains comportant des propos que je ne pouvais décemment pas reproduire (par rapport à Razika Adnani particulièrement, ce qui n’aurait pas été le cas s’il s’agissait de quelqu’un d’autre).
3- L’accusation
Razika Adnani : » Il est important de rappeler à Ma revue De Presse DZ que la critique est un droit et ne pas être d’accord avec les idées d’une personne est légitime. Cependant, falsifier des preuves est un délit et mentir à ses lecteurs c’est leur manquer de respect. Même sut les réseaux sociaux, il faut apprendre à assumer ses positions. »
Mouna Bekkis : Sachez madame, que mes milliers de lecteurs ainsi que moi-même apprécions particulièrement vos réflexions. Et toute contribution qui amène à réfléchir et à construire est toujours la bienvenue sur Ma Revue De Presse DZ.
Mais pour répondre à votre interrogation de savoir « Pourquoi une tribune invitant au respect de l’humanisme, à la valorisation du travail, à la bonne relation avec l’autre ou encore à la non-violence susciterait-elle une sévère critique ? », sachez que je me réserve le droit de critiquer les raccourcis, surtout quand ceux-ci mènent à ajouter de la stigmatisation à une population et une région déjà bien malmenées par le pouvoir en place et une partie de la population foncièrement raciste.
Il n’y a donc ni falsification de preuves, ni mensonges. Juste la mise en lumière d’un raccourci, sans doutes, maladroit pour argumenter un sujet sur les valeurs de l »humanisme qui, cela va de soi, sont partagées par tout un chacun doté d’un minimum de bon sens.
Bien à vous Madame, cette Razika Adnani.
Mouna Bekkis, Journaliste, Le 1er Octobre 2022
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