Dans sa chronique de ce mercredi 14 septembre, intitulée « À la JSK, le pire est toujours à venir », le journaliste du Soir d’Algérie a dressé le profil du président actuel de l’équipe de Kabylie, JSK, Yazid Yarichéne.
Il écrit :
» (…) Puis… un autre, du nom de Yarichane. Il n’a pas besoin d’ancrage régional pour diriger la JSK ? Soit. Mais il a besoin quand même de quelque chose. Il avait quoi ? Zéro apport financier. Zéro sponsor en dehors de celui de l’État. Zéro savoir-faire, peut-être bien un peu moins de zéro. Une fausse démission pour un chèque qu’il n’a pas eu le temps d’encaisser parce que des fournisseurs l’ont… devancé, un entraîneur renvoyé au bout de quelques matches (…) »
La JSK, cet autre symbole Kabyle qu’il faut abattre !
Rappelons que de nombreux observateurs ont noté que la nomination de Yazid Yarichéne à la tête du club Kabyle JSK, en 2021, a coïncidé avec une campagne de répression contre les kabyles et tout symbole identitaire comprenant le drapeau interdit dans toutes les manifestations culturelles ou sportives en Algérie. Une application, selon les mêmes sources, d’une opération nommée « Zéro Kabyle », fomenté par des personnalités proches de divers mouvements arabo-islamistes, (politiques, militaires, intellectuels…). L’équipe Kabyle est depuis le seul club a devoir porter le drapeau algérien sur ses maillots, un peu comme les juifs devaient porter l’étoile jaune durant le deuxième guerre mondiale.
Pour la JSK, le club le plus titrés d’Algérie, ce dernier traverse la pire période de son histoire. Il est même menacé de relégation.
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