Plus habitué à être reconnu derrière son masque, le graffeur Mekky Dfs s’est présenté à visage découvert dans une vidéo sur la page facebook Jow+, ce dimanche 7 août. Il y évoque, ainsi, son quotidien d’artiste et son penchant pour le Street Art (Art urbain). « Un quotidien pénible », avoue-t-il, quelque peu amer.
« Outre les sources financements, c’est surtout les autorisations pour exécuter mes œuvres qui me causent des problèmes », dit-il encore. Bureaucratie et procédures pour avoir une simple autorisation pour dessiner et donner des couleurs et une âme aux ville algériennes englouties dans la culture du souk avec ses poussières, ses vendeurs de thé et sandwich douteux. Un Kandahar au nord de l’Afrique !
A son palmarès, le jeune artiste évoque, les fresques réalisées en hommage au jeune militant, Djamel Bensmail, Idir, Hasni, ou encore Rouiched qui nous ont quitté, mais également à des artistes encore vivants comme Bayouna ou encore, Athmane Alliouat…
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