Un mois après son accouchement, l’épouse de l’international franco-algérien Riyad Mahrez, Taylor Ward, est revenue à ses 2.3 millions de fans sur Instagram pour leur parler de sa nouvelle vie de maman.
Dans son édition d’hier mercredi 3 août, le site DZAIR DAILY, rapporte la dernière photo de sa vie de maman.
Si les milliers de commentaires ont tourné autour de souhaits de réussites, de longue vie et autres « gros bisous » à la petite Mila, sa petite fille, les adhérents algériens de la page, se sont démarqués par un tout autre discours.
En effet, se comportant en véritable police de la vertu, ces internautes ont fustigé la maman de Mila qui s’est retrouvée sous un torrent de critiques, notamment sur son look et ses tenues vestimentaires, jugées « indécents pour l’épouse d’un musulman ».
Les critiques ne se sont pas arrêtées là, puisque des « conseils » lui ont été donnés sur les bonnes manières à avoir « pour donner une bonne image » et pourquoi pas, dit Nesrine DZ, « porter le hijab qui t’irait parfaitement et dans lequel tu sera encore plus belle ».
Un autre fan, Mohamed Ahmed, a émis une interrogation sur un sujet qui semble le préoccuper au plus haut point, tout en fustigeant le papa Mahrez.
Il écrit :

“Et cette Mila, c’est une musulmane ou une MOUTABARIDJA (ne porte pas le voile) comme sa mère ? Où est ton honneur, ta virilité et ta foi en Allah, monsieur Mahrez ? »
Mahrez-Taylor face à la police de la vertu
Rappelons que ce n’est pas la première fois qu’internautes et médias algériens s’immiscent directement dans la vie privée du joueur natif de Sarcelles en France. Début 2022, la chaîne de télévision Echourouk TV a même consacré une émission entière sur la vie du couple Mahrez-Taylors. Les débats avaient tourné autour du futur couple et de « la nécessité de faire les choses selon la charia islamique ». Avaient également été évoqué « les changements que devra effectuer le couple dans sa vie pour représenter au mieux l’islam ».
« Ni sa photo en sortie de bain (juin 2021), ni celle où il tient un verre de Tequila (juillet 2022), n’a titillé ces donneurs de leçons. Des photos qui montrent assez clairement ce qu’ils pensent de ces inquisiteurs et de leurs conseils », écrit la journaliste Mouna Bekkis.
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