Alors que l’islamisme et la bigoterie écrase la société algérienne, que les autorités n’ont rien trouvé de mieux pour honorer sa meilleure bachelière 2022, Iméne Benabbes, que de l’envoyer à la Mecque, l’Égypte envoie une femme dans l’Espace.

Seon ce que rapporte le site Mobtada, dans son édition d’hier samedi 23 juillet, il s’agit de l’ingénieur Sarah Sabri. Cette dernière est la première astronaute égyptienne à s’envoler dans l’espace sur le vol New Shepard n°22 de Blue Origin.
Sarah Sabry est la fondatrice de la Deep Space Initiative (DSI), une organisation à but non lucratif qui vise à accroître l’accès à la recherche spatiale. Elle est devenue la première femme astronaute analogique en Égypte en 2021 après avoir terminé une mission lunaire de deux semaines pour simuler le conditions difficiles auxquelles sont confrontés les astronautes dans l’espace orbital.
Sarah est titulaire d’un baccalauréat en génie mécanique de l’Université américaine du Caire et d’une maîtrise en génie biomédical du Politecnico di Milano et poursuit actuellement un doctorat en sciences aérospatiales avec un accent sur la conception de combinaisons spatiales.
L’ingénieur a déclaré dans un communiqué de presse : « Lorsque nous osons rêver grand, nous réalisons des choses considérées comme impossibles. Brisons les frontières, écrivons l’histoire et fixons de nouveaux défis pour l’avenir », exprimant sa joie et sa fierté de représenter l’Égypte dans l’espace pour le première fois.
Sabry a ajouté qu’elle travaille sur la formation de personnes à voyager dans l’espace et qu’elle communiquait avec l’Agence spatiale égyptienne afin de former des Égyptiens.
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