Suite à la confirmation de la loi d’interdiction du Burkini dans les piscines municipales à Grenoble, une organisation islamiste agissant sous couvert d’une application de rencontres entre musulmans dénommée « Muzz », a décidé de rembourser toute femme qui payerait une amende à cause de cette nouvelle loi.
« Un montant de 25 000 euros a été prévu pour couvrir ces remboursements », rapporte la presse française évoquant un communiqué de l’équipe de cette application, basée en Grande-Bretagne ». « une des bases arrières majeures de l’islam politique dans le monde », rappelle la journaliste Mouna Bekkis qui ajoute que « durant les années 90, c’est à partir de ce pays, que parvenaient les fetwas autorisant les massacres en Algérie ».
MUZZ se justifie explique la procédure…
« Beaucoup de femmes musulmanes devront faire un choix injuste – échapper à la canicule en nageant en bikini, ou payer une amende pour avoir choisi une tenue modeste. C’est injuste », se justifie l’équipe de l’application.
Les femmes qui voudraient bénéficier de “l’aide” de Muzz devront d’abord payer leur amende avant d’aller sur un site où elles rempliront un formulaire attestant des conditions dans lesquelles l’amende a été dressée. « Les femmes payent leurs amendes et ensuite, nous les remboursons. Si nous constatons qu’il y a outrage à agent, par exemple, nous laisserons les personnes se débrouiller », explique la porte-parole de Muzz.
Interrogé par Actu Grenoble, la porte-parole de Muzz en France assure que le but de l’application est “d’aider” les femmes musulmanes. « Suite à une conversation, notre équipe basée en Angleterre a voulu agir pour aider ces femmes », lance-t-elle.
Darmanin dépose dépose plainte
La démarche de Muzz n’est pas du goût de tout le monde. Selon le ministère français de l’Intérieur, “il s’agit d’une annonce illégale”. Contacté par le Figaro, le cabinet de Gérald Darmanin, assure avoir lancé une procédure judiciaire contre l’application.
Si certains commentateurs y voient un énième coup de pub, d’autres pointent du doigt la main des mouvements islamistes, qui font face aux restrictions dans les pays musulmans, mais qui trouvent leur compte dans les démocraties occidentales, utilisant les lois permissives pour s’imposer. Officiellement, l’application assure que « c’est une action pour aider, rien d’autre ».
“Le short est haram dans vos plages et vous êtes choqués qu’il y ait débat sur le Burkini en France” (Said Djabelkhir)
Désolée ces gens là ne sont pas à leur place ici chez nous en France…d’autres pays islamistes telle l’Algérie peut les accueillir à bras ouverts
De plus ces femmes se réfèrent à la religion musulmane à l’image des femmes du prophète …que je sache ces dernières ne se sont jamais baignées et.vivaient dans la discrétion ….insupportable de voir ces pollueuses…il faut des mesures radicales à Rome tu fais comme les romains sinon retour au bled