Le déni de soi, haussé en valeur social, continue de faire son chemin en Algérie. Ainsi, alors que l’éducation nationale algérienne fait chaque année le choix d’auteurs moyen-orientaux pour les divers sujets d’examens de fin de cycle, quand elle ne plagie pas directement les sujets égyptiens ou Palestinien, comme ce fut le cas l’année passée pour l’examen du BEM 2021, la Tunisie fait un tout autre choix.
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En effet, pour la session du BAC 2022, l’éducation nationale tunisienne a opté pour un texte de l’auteur algérien, traduit en 40 langues, Yasmina Khadra.
Sur sa page facebook, l’auteur écrit :

« Merci au ministère de l’éducation tunisien pour avoir choisi, cette année encore, un de mes textes, en l’occurrence un extrait de mon roman « Le Sel de tous les oublis » comme sujet du baccalauréat 2022.
Plein de succès à tous les élèves ».