Dans une publication sur sa facebook, la page « Chroniques algériennes » relaie une réflexion de l’intellectuel Abdelmadjid Abou Ghazala. Ce dernier écrit :

« Qu’est-ce que c’est que cette religion que nous proposons à nos enfants et que mêmes ceux qui ont vécu du temps du prophète ne connaissent pas ?
Pourquoi toute cette complexité dans les livres islamiques ?
Qui a intérêt à rendre la religion complexe et qui profite de la sortir de simplicité ?
Qui profite du fait que la religion de dieu soit devenue la religion des hommes de religion seulement ? »
Littérature et perversion sociale…
Il faut dire que la littérature islamique est chargée de milliers de livres abordant souvent des sujets aussi mortifères que dangereux pour la société. Ainsi, on peut autant retrouver un livre répondant à la question de : » comment avoir des relation sexuelle avec un malade mental », que » les supplices de la tombe racontés aux enfants ».
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