Dans une publication facebook, l’auteur et journaliste Mouna Bekkis critique les jeunes algériens qui fuient l’Algérie au risque de leur vie en traversant la méditerranéen pour rejoindre les côtes européennes. Puis, qui exigent, une fois installés dans ce pays laïc, de protéger et amplifier les valeurs qui ont construit l’environnement toxique qui les a fait fuir. Elle écrit :

Mouna Bekkis : « Je note que ce sont les haragas algériens, une fois arrivés dans le pays laïc qu’est la France, qui font le plus de promotion pour la Charia… en Algérie ! »
Une réflexion en droite ligne d’un constat dressé par l’écrivain Kamel Daoud dans sa chronique « Bâtir une prison et s’évader » :
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