Pour de nombreux observateurs, le ministre du commerce, Kamel Rezig ne le fait pas exprès. Il n’est juste pas outillé pour gérer. D’autant qu’il n’a pas le baccalauréat, selon l’expert en économie, Fares Mesdour.
“Son Doctorat est un plagiat, il n’a même pas le BAC!” : Quand Mesdour explosait Rezig !
La dernière hallucinante décision que personne n’arrive à s’expliquer nous est rapportée par le Soir d’Algérie, dans son édition de mardi 24 mai.
En effet, le quotidien indique que le ministère du Commerce impose le passage par sa plateforme électronique pour toute opération de domiciliation d’importation. Si officiellement, il s’agit de « mieux maîtriser les dépenses en devises fortes », un aspect de la disposition aura échappé à l’ingénu.
Il oblige, en effet, le passage par cette plateforme à des opérateurs dont l’activité est réglementée. C’est le cas des médicaments. « Le ministère de l’Industrie pharmaceutique a déjà sa propre plateforme de vérification. Pourquoi ce double barrage ? », s’interroge le quotidien.
Et de signaler que : « cette plateforme du ministère du Commerce est souvent saturée et le risque de pénuries plane sur le consommateur ».