Que ce soit dans les classements britanniques, Times Higher Education World University Rankings et Quacquarelli Symonds – QS, l’américain US News, ou chinois, le classement de Shanghai, pas une université algérienne n’arrive à se classer, ne serait-ce qu’en Afrique ou encore dans le monde dit « arabe ». L’information parue dans la presse n’a pas manqué de rappeler aux internautes les incroyables propos l’ex-ministre Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Tahar Hadjar (2017 – 2019).
Un journaliste lui posait en 2018, la question suivante : » Pourquoi l’université algérienne n’arrive pas à produire de prix Nobel ? ».
Ce dernier avait alors eu une réponse qui en avait surpris plus d’un en Algérie comme dans le monde après la diffusion de sa déclaration immortalisée sur le web.
Voici sa réponse :
Ministre Hadjar : « Entre nous, soyons objectifs. Les grandes universités dans le monde s’appuient sur des Prix Nobel, des centres de recherches et autres. Mais, réellement, à quoi ça sert un prix Nobel ! Quel est l’intérêt pour l’université algérienne d’avoir un prix Nobel ou même dix ! »
Rappelons que si ce ministre n’a laissé ni bilan, ni trace de son passage, hormis des milliers d’étudiants qui cherchent coute que coute à fuir le pays, il aura laissé cette incroyable phrase pour la postérité. Une citation désormais « culte » que les internautes ne ratent pas une occasion pour la remettre au gout du jour.
Ministre Hadjar a raison. En Algerie, le prix Nobel c’est du papier hygienique. A quoi sert-il a part s’essuyer avec. Bande de vas nus pieds arrivistes.