Les salafo-wahabites algériens ne savent plus à quel dieu s’en remettre. Loin est le temps, où sur une simple fetwa venue d’Arabie, ils égorgeaient sans compter le premier algérien amateur de bière et la première algérienne ne portant pas le Hijab. En effet, une autre sortie de leur principal bailleur de fonds et donneur d’ordres vient un peu plus mettre à mal leurs certitudes. 28 ans après avoir tiré à trois reprises avec un fusil à canon scié sur la jeune Katia Bengana, une lycéenne de 17 ans, qui avait refusé de porter le hijab. C’était le 28 février 1994.
Ainsi, dernière sortie en date, le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, cité par l’agence de presse saoudienne SPA a déclaré ce jeudi 3 mars 2022 : « Nous considérons Israël comme un allié potentiel, mais avant cela, il devrait résoudre ses problèmes avec les Palestiniens ».
Évoquant les relations avec l’Iran, il a affirmé que son pays avait l’intention de poursuivre des « discussions détaillées » avec la République islamique afin de parvenir à un accord satisfaisant pour les deux parties.
Il a exprimé l’espoir que les pourparlers permettront aux deux pays d’atteindre « une bonne situation et de marquer un avenir radieux », a indiqué la chaîne de télévision Al Ekhbariya.
« L’Iran est un voisin pour toujours, nous ne pouvons pas nous débarrasser d’eux et ils ne peuvent pas se débarrasser de nous », a-t-il affirmé,selon la télévision d’État.
Le prince d’Arabie a également ajouté que l’Arabie saoudite ne veut pas d’un « accord nucléaire faible avec l’Iran ».
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