À quelques jours de l’anniversaire du mouvement populaire baptisé par les islamistes « Hirak » (22 février), les autorités poursuivent les actions envers l’opinion publique. Ainsi, après l’annonce de la suppression de plusieurs taxes et de la baisse des prix de plusieurs produits alimentaires, un geste envers les habitants de la Kabylie vient d’être noté.
Ainsi, selon la presse, l’ex-parlementaire à la retraite dorée et présidente du parti islamiste « Parti de l’équité et la proclamation (PEP) », Naima Salhi s’est vue, hier mardi 15 février, inculpée dans une deuxième affaire. Selon Algérie 360 qui reprend El Watan, « placée en liberté provisoire début de mois en cours, elle vient d’être inculpée et de nouveau placée sous le même mesure dans une autre affaire à l’issue de son audition, hier mardi, par le doyenne les juges d’instruction de le 1ʳᵉ chambre près le tribunal de Chéraga ».
Cette fois, selon la même source, il s’agit de l’affaire de la plainte déposée contre elle par deux avocats de barreau de Tizi Ouzou ; Me Abdelkader Houali et Me Sofiane Dekkal. Cette plainte concerne, rappelons-le, les propos « racistes » et « haineux » proférés par le prévenue à l’égard de la population Kabyle.
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Mise sous mandat dépôt puis relâchée !
Enfin la même source révèle qu’avant la prononciation de le décision du contrôle judiciaire, le procureur l’avais mise sous mandat de dépôt. Et selon les sources judiciaires citées par le même journal, le parquet pourrait faire appel auprès de le chambre d’accusation près le cour de Tipaza contre le décision de juge ».
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