Après le litre d’eau « MERKI » (béni par des sourates du coran) vendu en Algérie pour 1500 DA (100 fois le prix du litre d’eau minérale) et toutes la gamme des produits dits Halal vendus souvent à prix d’or en passant par les crédits bancaires dit islamiques plus chers que les crédits des banques classiques, voilà qu’un tout nouveau business religieux vient de voir le jour : La formation à la prière.
Nous apprenons, en effet, qu’en France, des cours visant l’apprentissage de la prière aux musulmans ou nouveaux convertis à cette religion font leur entrées dans le marché du business religieux. Une tendance observée déjà il y’a quelques années, mais qui semble bien parti pour devenir désormais un commerce florissant, voire une part de marché à part entière !
Ainsi, après la première session enregistrée en 2020, voilà que plusieurs propositions font leurs apparitions à coups d’affiches publicitaires et autres réclames proposant des prix de plus en plus compétitifs.
Sur les réseaux sociaux, c’est une affiche publicitaire portant sur une cession de formation, proposée par le Cheikh Islmail Mounir. Une formation de 40 heures pour « perfectionner sa prière » pour la modique somme de… 497 euros !

En son temps, le prophète de l’islam lui-même était un businessman averti qui a fait ses preuves avant et après son mariage avec Khadija, la richissime businesswoman. Il avait déclaré « Al Mekkah la tufqar » – la Mecque ne connaitra pas de disette – Il a dit vrai, car il a laissé derrière lui un filon inépuisable. À ce jour, la Mecque brille de milliers commerces, de subventions, de Dons et d’apports financiers de par le monde avec les pèlerins. Dans le monde tout se vend et se négocie. Les paroles dites divines rapportent gros. Ce ne sont pas les Saoudiens qui me contrediront