La militante Dr Amira Bouraoui revient dans une publication datée de ce vendredi 21 janvier sur un phénomène très algérien : la paresse intellectuel dans laquelle est noyé l’Algérien. Ainsi, à défaut de faire des recherches ou de lire, beaucoup s’en remettent à la culture orale, les « on dit ».
Elle écrit :

Amira Bouraoui : « J’avais un ami ingénieur diplômé de l’université de Bab Ezzouar. Son père était policier et a été assassiné par des islamistes alors qu’il n’avait que 2 ans. On fait sa la plongée sous-marine au club Beuchat à Bainem ensemble.
Un jour de Ramadan, il m’a dit qu’il ne voulait pas plongé. Je lui ai demandé pourquoi ? il m’a dit c’est la Ramadan. Alors je lui ai dis qui t’a dis qu’il n’y a plus de mer durant le ramadan ? où as-tu lu ça ? Il m’a dit : on me l’a dit. Je pense que ce doit être Boualem le boulanger qui a conseiller l’ingénieur. »
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