
Installée à Paris et en phase d’obtenir la nationalité française, c‘est pourtant, ce qu’écrivait sur sa page facebook, au cours de l’été 2020, l’ex-ministre de la Culture du gouvernement Bedoui, Meriem Merdassi. Un petit post visant directement les deux grands partis politiques issus de la Kabylie, le FFS et le RCD. Et les deux principales wilayas de la région : Tizi Ouzou et Bejaia.
Le genre de phrase tirée du lexique des tenants du pouvoir en Algérie quand il sont en poste avant de finir par s’installer en famille dans ce pays qu’ils détestent tant dans leur discours : La France.
En effet, selon une information qui circule sur les réseaux sociaux, la jeune ex-ministre qui ne cache pas son racisme envers les kabyles, s’est définitivement installée dans la région parisienne. Elle serait même, selon ces sources, « en phase d’obtenir la nationalité française », comme tant d’autres avant elle. Et l’ex-ministre des moudjahidine Mohamed Cherif Abbes, et l’ex-gouverneur d’Alger Cherif Rahmani et l’ex diplomate Lakhdar Ibrahimi et… la liste est longue.
Selon un chiffre paru en 2019, plus de 50.000 hauts responsables algériens sont résidents en France et/ou naturalisés français.
Ils n’ont aucune dignité. C’est de la mauvaise graine de bâtards. De la prostitution politique, tradition ancrée dans leur ADN. Quand ils parviennent au pouvoir par lèche-botte, la seule chose dont ils sont capables, c’est de vendre ce pays qui ne leur appartient pas. Les kabyles l’ont arraché au prix de mille sacrifices des griffes des colons français. Ils le savent bien ses bâtards.