Rebondissement dans l’affaire de la supposée « note interne » de la Fédération Algérienne de Football (FAF) portant sur l’obligation d’arrêter les rencontre durant le « Adhan » (appel à la prière).
« Arbitre de foot ou apprenti mufti ! »
Ainsi, selon les rares titres de presse qui ont commenté cette incroyable histoire, Liberté affirme que ce n’est pas la FAF, mais le fait de cet arbitre pris de bigoterie. (Ce qui ne déresponsabilise aucunement l’instance du football algérien, NDLR)
Ainsi, le quotidien indique dans son édition du 27 novembre 2021 que « arbitre qui officiait le match NAHD-MCO pour le compte du championnat national, avant-hier au stade du 20-Août, est totalement sorti du cadre sportif en décidant d’interrompre le jeu au moment de l’appel à la prière d’El-Asr. Outre le fait que son geste est illégal, il envoie un message pour le moins grave. Celui d’imposer et de manière éhontée des règles qui rappellent celles de l’époque où l’ex-FIS dictait sa loi via sa police des mœurs. Il faut dire que c’est la deuxième fois qu’un arbitre décide d’interrompre un match de football à l’heure de l’appel à la prière ».
Le quotidien n’écarte, toutefois pas la responsabilité de la FAF. « Face à ces agissements, la Fédération algérienne de football doit sévir. Il ne faut surtout pas se laisser intimider par un comportement qui relève plus de la bigoterie ambiante que d’autre chose. Il faut rappeler qu’il y a deux ans de cela, la FIFA lui avait retiré le badge d’arbitre international », écrit Liberté.
Laisser un commentaire