« Ils te font perdre du temps pour te faire payer des pénalités de retard ». C’est ce qu’on peut lire dans un commentaire sur facebook d’un propriétaire de logement AADL qui commente la fameuse formule dite de « paiement électronique ». Or, derrière ce qui semble être une belle avancée technologique se cache une arnaque que plusieurs souscripteurs n’ont pas manqué de dénoncer.
En effet, dans son édition de, ce mardi 16 novembre, Le Soir d’Algérie n’a pas manqué de noter que l’expérience du paiement électronique lancée par l’Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement (AADL) tourne à un véritable fiasco. Et pour cause, écrit le quotidien : « sur le terrain, on a souvent affaire à des pannes de réseau ou carrément de «la machine», notamment à Alger. Résultat : les locataires se retrouvent avec des factures cumulées qu’ils ne peuvent pas payer, y compris au niveau des banques qui leur signifient, à juste titre d’ailleurs, qu’ils sont désormais versés au niveau de leurs sites respectifs depuis l’introduction du paiement électronique ».
« Une façon de créer du retard aux souscripteurs,, pour leur infliger des pénalités de retard », affirment plusieurs souscripteurs à cette formule de logement qui innove en matière de pièges administratifs pour soutirer de l’argent à ses clients !
Cette « arnaque » appelée « paiement électronique », vendue comme un progrès de gestion administratif a déjà été dénoncée en début d’année…