Dans une publication facebook, datée de ce jeudi 28 octobre, l’islamologue Said Djabelkhir immisce dans le débat de l’Arabisation en Algérie et tape fort sur les tenants de l' »arabe idéologique » en Algérie.Il écrit :

A comprendre par ce post que l’arabe des poètes et des romanciers, parmi lesquels on peut retrouver le poète et critique littéraire Syrien Adonis, de son vrai nom Ali Ahmed Saïd ou encore le romancier Égyptien Taha Hussein sont totalement occultés par l’enseignement de l’arabe en Algérie et du système dit « arabisation » par le simple fait qu’ils sont laïcs. Alors même que ce sont ceux-là les « Voltaire » ou « Victor Hugo » de la langue arabe.
À contrario, l’enseignement de l’école algérienne s’axe sur la diffusion de textes des théoriciens du jihad islamique tel que le fondateur des frères musulmans Hasan el-Bena ou encore le sulfureux Youssef al-Qardaoui dont les Fetwa sont à l’origine, ces 30 dernières années de millions de morts dans le monde musulman et ailleurs dans à travers la planète, au nom du jihad islamique…
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