Dans un commentaire qui suivait un de ses Post facebook publié hier, mercredi 6 octobre,, l’auteur et journaliste Mouna Bekkis tente une analyse du forcing des « arabisants » algériens pour imposer la langue anglaise à un pays qui n’en a ni les moyens, ni les compétences, ni l’environnement.
Elle écrit :
« La réalité est qu’en Algérie il n’y a pas de francophones. Il y a des bilingues. Et c’est ce qui dérange les monolingues (arabisant). Être bilingue donne des compétences pour devenir polyglottes, ce qui n’est pas le cas d’un monolingue…. Ceux qui font la promotion de l’anglais en Algérie (les arabisants) ne sont absolument pas dans une logique d’efficacité. Ils le font juste par complexe pensant que ça va déranger ceux qu’ils appellent « les francophones ». Leur niveau ne leur permet pas de voir que non seulement ils se trompent, mais en plus qu’ils font beaucoup de mal au pays et à son développement ! »
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