« Les accusations ne tiennent sur rien. Même la cour suprême admet que le dossier est vide ». « Nous ferons appel, mais sans conviction ». « On est persuadé qu’il n’y a aucune volonté de libérer cette homme ».
Ce sont là les principale déclarations de Me Aouicha Bakhti, avocate du Général à la retraite Ali Ghediri qui après 27 mois de détention provisoire, s’est vu infliger, tard dans la nuit de mardi à mercredi, 4 années de prison ferme par le tribunal de Dar El Beida.
Plus tôt dans la journée, le procureur de la république avait requis 7 ans de réclusion criminelle contre cet ex-candidat aux présidentielles, poursuivi pour avoir voulu, « impliquer l’institution militaire dans la vie politique » et « porter atteinte au moral des troupes ».
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