le métro d’Alger demeure toujours fermé près de 16 mois après
Suspendu en mars 2020 dans le cadre des mesures de prévention et de lutte contre le coronavirus, le métro d’Alger demeure toujours fermé près de 16 mois après. Ce qui suscite des interrogations. D’autant que tous les autres moyens de transport, suspendus au début de la pandémie, ont été autorisés à reprendre du service, y compris le transport aérien.
Pour le site TSA, qui évoque ce sujet dans son édition de ce mercredi 7 juillet, ce n’est ni la pandémie du COVID, ni le Hirak qui sont derrière cette situation. » Des sources avancent que la non-réouverture du métro est due au départ de la société française qui avait la charge de sa gestion », écrit le site. Le métro d’Alger a été confié dès son ouverture en 2011 à RATP El Djazaïr, filiale du Français RATP DEV. TSA, évoquant des sources, indique que » la partie algérienne, l’EMA en l’occurrence, n’a pas encore mis en place les équipes qui devraient prendre la relève et assurer la gestion du métro ».
Une décision prise donc dans le cadre d’un agenda idéologique et populiste similaire à celle adoptée dans le département de la gestion de l’eau. En effet, de nombreux observateurs voient un lien entre la catastrophique gestion de l’eau et la pénurie actuellement qui frappe le pays et l’annonce par les autorités, en janvier dernier, du non-renouvellement du contrat avec le Français Suez Environnement pour la gestion de l’eau à Alger et Tipaza à travers la société Seaal.
Commentant le sujet, l’auteur Mouna Bekkis écrit : « Mao disait : Je préfère la bouse de vache à l’idéologie. On peut en faire de l’engrais ».
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